Iris Van Herpen. La fine ligne entre la réalité et l'irréalité.
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Iris Van Herpen. La fine ligne entre la réalité et l’irréalité.

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C’était à l’Oratoire du Louvre que la designer néerlandaise Iris van Herpen a présentée sa collection d’automne-hiver pour ce début de semaine de haute couture.
Une collection très zen, nommée « Seijaku », inspiré par le concept japonais qui tend à trouver la sérénité au milieu du chaos. Un thème qui se marie en harmonie avec le lieu ainsi que pour la musique. Le défilé s’est déroulé dans un silence absolu on avait juste le son d’un bol chantant du musicien Kazuya Nagaya. Minimal et très concept.
Poursuivant la vigueur d’Iris van Herpen de fusionner la technique avec l’artisanat, la réalité avec l’irréalité, Iris a proposée des robes aux multiples matières et formes miroitant cette silhouette illusoire, composées de volants et de drapés majestueux.
Toujours prête à repousser les limites de la mode, elle a notamment travaillée le silicone qu’elle a recouvert de perles, de bulles de verre ainsi que de l’organza fixé sur du tulle. – «Quand je dessine, le processus de drapage la plupart du temps se passe pour moi inconsciemment ». La collection est sublime et nous fait rêver.
Le soir, une soirée nous a été proposée au Silencio pour le lancement du filme The Dress, réalizé par Barnaby Roper avec Gwendoline Christie et la performance d’Oklou.
Bonne promenade

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