PEOPLE OF THE MUD REND HOMMAGE À LA CULTURE IRISH
People of the Mud est une nouvelle série puissante de l'artiste américano dominicain basé à Berlin, Luis Alberto Rodriguez, réalisée en collaboration avec les communautés du comté de Wexford en Irlande, où la tradition ancienne et la vie moderne se côtoient quotidiennement.
Rodriguez rend hommage au poids métaphorique de siècles de travail physique derrière la culture du paysage et la préservation du patrimoine culturel. À Wexford, le photographe a été frappé par l'intense physique du sport du Hurling. Considéré comme le sport le plus rapide sur herbe, tout en regardant des images au ralenti Rodriguez a vu qu'en quelques secondes les joueurs allaient se pousser, se bousculer, s'agripper, se serrer dans les bras, se renverser puis se soulever. Il a travaillé avec des joueurs pour réformer ces gestes : créer des sculptures à partir de corps, diriger et littéralement superposer les joueurs les uns sur les autres.
People of the Mud est 114 pages d’un portrait communautaire collectif de tous les différents éléments qui construisent les identités irlandaises modernes et rurales. Comme tout portrait de famille, il est parfois dysfonctionnel et contradictoire ; il rassemble toutes les ruptures et continuités entre le passé et le présent de l'Irlande moderne, tout en se tenant dans un paysage et un moment dans le temps. Ce moment est à la fois immobile - posé et suspendu - et en perpétuel mouvement, tourné vers l'avenir.
Un très beau cadeau si vous cherchez des idées de quoi offrir pour les fêtes de fin d’année.
Vous pouvez le commander sur : loosejoints.biz
Bonne découverte et bonne promenade
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Credits :
@cormac_rourke
@ronandevereux
@devereuxpaddy
@instaseamus212
@samk141
@devero94
@jointloose
@luisalbertorodriguezstudio
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#peopleofthemud #luisalbertorodriguezphotography #cowhousestudios #futuresphotography #photoirelandfoundation #hurling #champions
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MAN RAY, L'INVENTEUR DE LA PHOTO DE MODE CONTEMPORAINE
MAN RAY ET LA MODE
Man Ray sous un nouvel angle. Déjà mis en avant par le Grand Palais lors d'une rétrospective en 1998, puis par la pinacothèque en 2008, l’artiste revient avec une exposition de photographie de mode au Musée du Luxembourg intitulée Man Ray et la Mode.
Man Ray débarque à Paris en 1921. Plus qu’un photographe, Man Ray est l’un des protagonistes de la vie artistique parisienne de l’entre-deux-guerres, plus particulièrement du surréalisme. Il n’a jamais été montré sous l’angle de sa contribution à l’émancipation de la photographie de mode. Un genre, né au début du XXe siècle, qui a contribué à la reconnaissance de la photographie comme art à part entière. Des photographies, ainsi que des tirages originaux et contemporains en grand format, sont présentés en dialogue avec des modèles des maisons de couture pour lesquelles l'artiste a travaillé.
À cette époque, les magazines de mode publient les photos de célébrités comme Coco Chanel, Kiki de Montparnasse, Marie-Laure de Nouailles, Nancy Cunard, Peggy Guggenheim. Autant de personnalités du monde de la mode et des sphères mondaines qu'a côtoyé l'artiste et capturé sur la pellicule.
Recadrages, surimpression, jeux d'ombres ou de lumières sont ainsi créés dans des images avec lesquelles Man Ray offre à la mode une vision du rêve. Publiées dans les magazines, ces photos dictent la mise en page, elles aussi inspirées de l'esthétique surréaliste.
Les photos dialoguent avec des pièces de haute couture comme les robes Chanel des années 20 ainsi que le célèbre portrait de Coco Chanel, de profil, mains dans les poches, cigarette dans la bouche, ou des photos inédites de célébrités de l'entre-deux-guerres habillées en Chanel.
De la liberté vestimentaire des années 20 aux codes beaucoup plus stricts une décennie plus tard où il fallait changer d’habits, coiffure et même la couleur des ongles plusieurs fois par jour, les pièces exposées racontent l'évolution de la société. L'occasion de redécouvrir l'un des photographes les plus emblématiques de son temps.
Réservation sur le site billetterie.museeduluxembourg.fr
Man Ray et la mode
du 23 septembre 2020 au 17 janvier 2021
Au Musée du Luxembourg,
19 rue de Vaugirard,
75006 Paris.
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« J'ai toujours été captivée par ce qui est masculin. Toujours porté des jeans, une veste d'homme (…).
Je ne me sens ni fille ni garçon, mais davantage en position séductrice habillée en garçon. »
Betty Catroux, Antidote, 2014
Véritable icône de mode, Betty Catroux a été photographiée par les plus grands artistes comme Helmut Newton, Irving Penn, Steven Meisel ou Jeanloup Sieff. Photographies personnelles et documents inédits témoignent également du lien unique qui unissait Yves Saint Laurent et Betty Catroux dont le couturier disait qu’elle était son ‘double féminin’.
Une très belle exposition à faire et à refaire et surtout un très bel hommage pour la jour de la Femme 8 mars.
BETTY CATROUX
Musée YVES SAINT LAURENT
FÉMININ SINGULIER
Jusqu’au 11 octobre 2020 5 avenue Marceau, Paris
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BLUE JEAN, WHITE SHIRT
Les années 50 nous ont toujours inspiré. Fortement marquées par la période de l’après-guerre où le désir de retrouver une vie de loisirs se fait sentir. Au cinéma, c’est la naissance des grandes icônes cinématographiques et musicales comme James Dean, Marlon Brandon et leur fameux look « blue jeans et white shirt ». À l’occasion, des nouveaux mouvements stylistiques font face et ne cherchent qu’à adopter un style de plus en plus recherché. Cinéma, art, photographie, design musique ou mode, la liste d’inspiration est longue. Le magazine Kult
Le magazine Kult, s’est inspiré de ce mood des années 50 et voici le résultat. Les garçons, Patrick O'Donnell, Johan Johansson et Kalle Lagerström, coiffés à la perfection par Peter Johansson, portent des pompadours chics lorsqu'ils posent devant l'objectif du photographe Viktor Flume. Sous les vêtements de la styliste Lars-Fredrik Svedberg, les modèles sont dotés de t-shirts blancs classiques, de jeans et de vestes. Un look rockabilly chic et class qui nous fait rêver des photos de Bruce Weber.
Bonne promenade.
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Pour certains, les processus créatifs peut prendre des années, pour d'autres il suffit d’être au bon endroit et au bon moment. Ceci est arrivé au photographe allemand Lucas Zimmermann. En rentrant d’une soirée, les feux de sinalisations étaient pratiquement tous rouges, pas de chance cette nuit. Mais voila que soudain, qu’une lumière au fond du tunnel s’allume.
Ce qui a suivi était une série magnifique de feux de signalisation capturés pendant une nuit brumeuse dans le Weimar.
Selon Lucas, il ne faisait que patienter que les lumières deviennent vertes, regardant fixement à la lumière rouge, tout le monde à déjà fait cela. Jusqu’à ce qu’il repère l'effet visuel du brouillard, les lumières rouges qui l'ont fait qu’il s'arrêtait lui ont donné l'occasion de laisser la scène se répandre et l'inspirer. Ces feux de signalisation surréalistes illuminent les rues allemandes brumeuses comme par magie, comme dans un film de David Lynch.
En fait rien n’est si simple comme il le semble.
Lucas a passé plus de deux ans capturant des feux de signalisation avec une torsion surréaliste et spectrale. La nuit, zimmermann se met aux rues somnolentes du Weimar en l'Allemagne et capture une nouvelle lumière, une nouvelle expérience, une nouvelle histoire.
Bonne promenade
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L’incontournable calendrier qui nous fait soupirer à chaque sortie est de retour. Pour l’édition de 2018, Pirelli fait équipe avec le photographe Tim Walker. En vedette, pour la première fois depuis 1987, pirelli fait un casting entièrement composé de personnalités noires comprenant des modèles, des activistes, des chanteurs et producteurs et des stylistes - LE BLACK PIRELLI PAR TIM WALKER.
Le thème du calendrier Black Pirelli pour 2018 est la fantaisie et le fantastique aux allures à la TimBurton pour Alice au pays des merveilles. C’est bien vraie que l’on en a bien besoin d’un peu de fantaisie dans nos vies de tous les jours et c’est gagné car le résultat est sublime.
Dessinés par EdwardEnninful, styliste pour le magazine #Vogue britannique, les costumes sont impressionnants et les look très pétillant, on adore. Dans le menu casting, des noms comme NaomiCampbell, RuPaul, Sean «Diddy» Combs, LupitaNyongo, WhoopiGoldberg, DuckieThot et AdwoaAboah, entre autres.
Pour plus d'informations sur le calendrier et les coulisses du shooting, on vous invite à visiter le site officiel.
Thinkdiversity et Bonne promenade
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Il y a exactement 100 ans, né aux États Unis un des plus célèbres photographes américains de mode, beauté également célèbre pour ses portraits anonymes et ses natures mortes: IRVING PENN.
À l'occasion de la naissance de cette légende de la photo, le Grand Palais à Paris, lui consacre une rétrospective à partir de ce jeudi 21 septembre 2017. D'Audrey Hepburn à Nicole Kidman, mais pas que, des réalisateurs comme Hitchcock, des peintres comme Dali sont passés devant son objectif. Peu importe le sujet il disait vouloir saisir la personnalité du sujet, capter sa vérité et lorsqu'on fixe les regards sur les yeux des portraits on se dit qu'il y parvenait.
Photographe pour le magazine Vogue il réalise 160 couvertures. Devant son objectif des célébrités, des top models mais aussi des anonymes, des pâtissiers, un vitrier, pour Irving les petits métiers c'est le nom de sa plus importante série initiée à Paris. Irving Penn voit de la poésie partout.
Sur ses portraits, ses compositions, on retrouve une dimension très graphique, les proportions, la pose, il a construit et imposé cette signature, SA signature qui est un mélange de grandes élégances et de grande sobriété aussi. Une visite à ne pas manquer surtout.
À vos agendas et bonne promenade.
IRVING PENN
A partir du 21 septembre 2017 jusqu’au 29 janvier 2018
Au Grand Palais
3 Avenue du Général Eisenhower, 75008 Paris
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Cindy Sherman est une des photographes dont la #teammespromenades adore et dont on admire beaucoup. Ce sont ces femmes magiques qui nous prêtent leur regard pour nous faire voyager dans leur univers unique comme, Nan Goldin et Cecil Beaton.
En fouillant un peu sur Instagram nous avons retrouvé son compte qui est devenu maintenant enfin public où nous pourrons profiter de quelques anciens essaies de ses autoportraits et quelques nouveautés comme si on participait d'un show privé de la photographe. Un délire de joie.
cindyshermancomplete
Quelques connaisseurs du milieu de l'art disent qu'en fait c'est un aperçu d'une nouvelle phase de l'artiste. En tout cas c'est un compte fascinant d'Instagram et à suivre de très prêt.
Bonne promenade
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La photographe Américaine, Annie Leibovitz expose dans la grande Halle des ateliers d’Arles à la fondation Luma 3000 images de ses archives des années 70 / 83 : The Early Years – Project #1.
L’exposition fait suite à l’acquisition, par la Fondation LUMA, des archives d’Annie Leibovitz. Fabuleuse, elle fait partie de ces expositions de légendes qui demeureront dans l’histoire pour leur créativité, leur originalité et leur richesse.
Organisée par Matthieu Humery, Directeur du Programme d’Archives Vivantes à la Fondation LUMA, en étroite collaboration avec Annie Leibovitz et l’équipe du Programme d’Archives vivantes de la Fondation LUMA, qui a pour fonction de rassembler dans un esprit de recherche à la fois esthétique et scientifique, des ressources multimédias diverses et multiples sur des personnalités majeures dans les domaines des arts visuels, de la littérature et des arts du spectacle.
Dans le cadre de sa mission, l’exposition se concentre sur le début de la carrière de la photographe. Son approche permet de contextualiser plus finement et plus profondément une pratique photographique unanimement saluée. L’idée est de raconter l’histoire d’une jeune fille qui apprend à être photographe.
Un parcours qui retrace les dix premières années d’Annie à Rolling Stone et d’une gamine passionnée de photographie qui allait devenir l’un des plus grands témoins privilégiés de son époque. On y découvre l’extraordinaire complicité et intimité qui se développent entre Annie et ses sujets, qui ne sont autres que les idoles mythiques des années 70.
Et, dans la dernière salle, la mutation a lieu : en 83, Annie cesse d’être témoin, elle devient interprète : le noir et blanc deviennent couleur, le 24/36 devient carré. Annie ferme la page, quitte Rolling Stone et entre à Vanity Fair qui connaît alors un nouvel essor.
Annie Leibovitz, Les premières années : 1970 – 1983. Archive Project #1
Du 27 mai au 24 septembre 2017
33 Chemin des Minimes
13200 Arles
France
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